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The
Shakin’ Mates au Pitchtime, à Dourdan (2/12/2017)
Reportage
: Eric Le Hoenen pour PARIS-MOVE
Photos : © Eric Le Hoenen
Je vous
amène au Pitchtime, dans cette magnifique “petite
salle” de l’Essonne, pour faire un break dans
le temps, en cette soirée du 2 décembre 2017,
car les Shakin’ Mates y sont présents pour
notre bien, et rien de tel pour réchauffer la salle
en ce début de période hivernale.
The
Shakin’ Mates, c’est une histoire, une belle
histoire qui a commencé il y a 22 ans, en 1995. Le
premier album, intitulé “Dirty Water”,
sera enregistré en 1997 aux anciens studios Vogue
de Villetaneuse. Un album pour le plaisir, et qui sera un
peu massacré par un manque de vigilance au mixage
et par l’ingénieur du son. La dure loi de l’apprentisssage
et de la confiance… La roue tourne et de nouveaux
musiciens rejoignent le groupe, permettant au nouveau line
up de la formation des Shakin’ Mates d’attaquer
et de vivre l’année 2000 à cent à
l’heure. Si ce n’est à deux mille à
l’heure, lui permettant d’aligner les scènes
grâce auxquelles la notoriété du groupe
va se forger. A la suite de ces nombreux concerts un deuxième
CD sortira en 2001 sous le nom de “Gimme One More
Shot”. A l’épreuve du Live dans de petites
comme de grandes salles, les Shakin’ Mates se forgent
un style, une griffe. La marque indélébile
d’un groupe que l’on aime voir et revoir, que
l’on aime voir et écouter. Et c’est tout
naturelllement qu’en 2003 le groupe publie un troisième
CD, “Instinct To Survive”, qui sera un véritable
succès. Mais un groupe est aussi la combinaison de
personnes, de personnalités, et pour des questions
relationnelles au sein de la formation, celle-ci va s’arrêter
en 2005… jusqu’à un beau jour d’Octobre
2008.
Sous l’impulsion de Christophe Salmon, batteur, le
groupe renaît, avec un répertoire légèrement
plus blues qu’avant, mais dont le mot d’ordre
est le “beat”.
Fin
2008 la machine blues & rock Shakin’ Mates est
de nouveau lancée, pour le plus grand bonheur des
fans et des inconditionnels qui ne pouvaient se satisfaire
de ce split en 2005… et un nouvel enregistrement sortira
mi-2009, sous le titre “Back In The Night”.
Contrairement au titre de leur opus, The Shakin’ Mates
sont back dans la lumière et en route pour une nouvelle
et très belle aventure! Une aventure qui voit en
2013/2014 la sortie d’un beau bébé,
“Rock and Roll Therapy”, puis en 2016 la sortie
de “No Pain, No Gain”. Deux albums pour mettre
une bonne gifle au blues-rock et imposer le style et le
son Shakin’ Mates sur les petite comme sur les grandes
scènes!
Ce soir nous sommes le 2 Décembre 2017 et les Shakin’
Mates vont nous offrir deux sets de haute volée intégrant
les morceaux du dernier album, “Rock and Roll Preachers”,
sorti le mois passé, en Novembre 2017.
Les
Shakin’ Mates, c’est avant tout un quatuor:
Christophe
Salmon (Snook), tout d’abord,
le batteur ‘historique’ du groupe.
Son inspiration vient d’AC/DC et du titre “If
you want blood”. Il crée sa première
formation deux ans après, à Paris, en 1980.
Depuis, il a tourné et il tourne avec Amalgame, Pulsions,
Neo, Baby blues, Nick et les Jams, Mach 3, Stinger. Ce soir
il va jouer comme tous les batteurs, scotché derrière
ses fûts, au fond de la scène, mais avec une
présence telle que l’on pense qu’il est
là, assis près de nous. Et puis Christophe
fait plus que partager sa musique, il nous offre son coeur,
son âme de musicien et un éternel sens de l’humour.
Sa citation favorite: “Peu importent les notes, en
musique ce sont les sensations produites qui comptent!”
(Leonide Pervomaïski)
Pierre
Houllier (Roadhouse Peter), bassiste.
Son premier contact marquant est Cream et leur fabuleux
album “Disraeli Gears”, en 1967. Au Pitchtime,
il prend place sur scène sur cet ampli ‘Mark
Bass’ pour notre plus grand plaisir et nous tenir
la boutique toute la soirée. C’est lui qui
sera le sur-amplificateur, avec ses notes graves et profondes
Francis
Lachet (The Doc), guitariste et chanteur.
Ses influences? Le Rock’n’Roll et le Blues,
John Lennon et Keith Richards. Un Beatles et un Stones,
le meilleur des choix, sans aucun doute. The Doc, tiré
à quatre épingles devant le public du Pitchtime
qui a fait le déplacement, nous présente les
titres du groupe avec classe et conviction. Le bonhomme
ne fait qu’un avec sa guitare: il l’accompagne,
elle le séduit et il la charme, en magicien de la
six cordes qu’il sera tout au long des deux sets.
Une belle surprise pour moi d’écouter ce soir
Stevie Ray Vaughan, et je remonte dans le temps en écoutant
“The House is Rockin’” ou “Suttle
Buttin”. En fermant les yeux je vois Stevie et j’écoute
Stevie. C’est la magie Shakin’ Mates que de
savoir s’effacer derrière des titres cultes,
pour mieux les interpréter, en leur offrant l’âme
de musiciens respectueux de pareils titres.
Giul
DeCasate (Julian O’Ray), guitariste.
Sa gratte, il ne la quitte plus depuis 8 ans, depuis son
premier riff de Blues. Giuliano, c’est du style…
et c’est la classe. A l’instar du Doc, derrière
ses lunettes noires et sa cravate rouge, il va déchirer
en apportant à ce groupe une intensité supplémentaire,
une touche de piment pour relever nos sens. La classe et
l’insolence, en somme. L’insolence du talent
made by Shakin’ Mates!
Que dire de plus si ce n’est que nous avons eu en
cadeau de début de Décembre une excellente
soirée dans ce monument de l’Essonne qu’est
le Pitchtime.
Vous voulez du bonheur…? Je vous recommande The Shakin’
Mates, une formation à voir et à écouter
sans modération!
Avec les Shakin’ Mates il est impossible de ne pas
taper du pied par terre, car pour eux, tout est dans le
‘Beat’. Alors venez vous éclater au son
de cette musique qui ne renie pas son géniteur, le
Diable en personne! Avec une telle paternité, ça
ne peut que chauffer au rouge!
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The Shakin’
Mates au BlackStone, à Barbizon (77) le 23 Septembre 2017 (Article
paru sur Paris Move)
Reportage
: Funny G’
Photos : © Funny G’
En intro, mon
aparté sur l’enseigne, à propos de laquelle il
y a un tapis rouge à tirer, pour que le chaland sache qu’il
y a, à l’extrémité virtuelle de ce tapis
rouge, une superbe salle atypique qui peut se targuer de défendre
de belles affiches, de vouloir proposer des concerts de vrais musiciens
talentueux, mais que de trop nombreux clients n’honorent pas
comme il se doit ce que Gilles, le boss du lieu, s’efforce à
proposer!
C’est donc un COUP DE GUEULE que je pousse, soutenu en cela
par mon rédacteur en chef, envers ceux qui veulent se faire
offrir le haut de gamme en qualité de talents mais qui ne se
bougent de chez eux que si le service est assuré jusqu’à
leur paillasson, alors que dans le même temps ils vont s’offrir
des concerts de “produits de grande consommation radiophonique
à maigre teneur artistique” à prix scandaleux
et à plus de cent kilomètres! Le constat m’exaspère,
d’autant plus que cette salle n’est pas la seule à
subir ce type de désaffection. Le Pitchtime est une autre “petite”
salle qui mériterait un public plus nombreux que les habitués
et fidèles de la première heure. Une prise de conscience
s’impose pour faire vivre le talent créatif national
et soutenir ceux qui prennent des risques pour faire jouer ces artistes,
ces musiciens, ces petits groupes. Et que l’on désigne
comme “petits” groupes alors qu’ils n’ont
de petit que la diffusion en radio qu’ils n’ont pas les
moyens de s’acheter.
Ce coup de gueule poussé, retour à la culture avec THE
SHAKIN’ MATES. Parlons-en!
Leur Histoire, depuis la naissance du groupe dont Francis Lachet reconnait
la paternité, s’est déroulée comme ce qui
vous est narré, sur leur site.
Je viens me poser, pour ma part, le temps éclair d’une
série d’images à encrer dans vos yeux, voire en
tapisser vos oreilles de fan, d’une farandole de posters! Let’s
Rock it!.
Ce samedi 23 septembre 2017, THE SHAKIN’MATES a marqué
l’histoire de cette super-salle qu’est le Blackstone.
Christophe Salmon, batteur historique du groupe, Pierre Houllier,
bassiste qui conforte la teneur du groupe, et Giul
DeCasate se sont encore ligués pour diffuser
leur Rock’n’Roll Therapy avec énergie, plaisir
partagé et communion avec le public présent. Il manquait
hélas de nouveaux fans, qui ne connaissaient pas le groupe,
peut-être, et qui ne sont donc pas venus. Sans doute plantés
devant leur télé et leur téléréalité
à faire pleurer tellement le niveau proposé est pauvre.
Et après, ces mêmes personnes viendront se plaindre qu’il
ne se passe rien, que rien n’est plus “comme avant”.
Avant le virtuel et tout ce que internet permet et propose comme musique
en numérique merdik? Avant, lorsque l’on sortait et que
l’on allait aux concerts? Avant, quand il y avait des salles?
Mais certains se décarcassent comme des fous pour faire vivre
leurs petites salles, et ils sont boudés. Peut-être parce
que pas assez chic? Pas assez bobo? Je l’ai dit, mais mieux
vaut le redire: une prise de conscience s’impose pour faire
vivre le talent créatif national et soutenir ceux qui prennent
des risques pour faire jouer ces artistes, ces musiciens, ces petits
groupes.
Retour à ce super concert des SHAKIN’ MATES. Avec toujours
ce grand plaisir à réécouter Francis Lachet,
à la guitare rythmique mais aussi à la voix, et en vrai,
comme sorti des CD. Une signature pure et rare, haut perchée,
pas uniquement dans les partitions! C’est limpide et solide,
régulier en tenue, et avec émotion. Son timbre envoie
aussi des modulations sensibles qui rendent la copie difficile, car
n’est pas Francis Lachet qui veut. Avec toujours cette concentration
et ce don de soi qui le rendent unique, quand il est sur scène.
Unique, disais-je, pour moduler du Blues pur et dur au Hard Rock,
en faisant étape dans le Rock Sudiste ou dans le Pop-Rock,
et j’en passe, pour 20 titres que le groupe nous a offert ici!
Et puis il y a le “p’tit nouveau”!
Ouais, croyez-le! Un p’tit qui n’a plus qu’à
monter aussi vite qu’il mérite d’être porté.
Une notion de “p’tit” (avant “nouveau”)
dans la formation qui va très vite disparaitre, car il arrache,
le bonhomme! Il assure, ce Giul
DeCasate. N’hésitez pas à
graver ou tatouer son nom bien en vue, surtout, car le loustic va
faire parler de lui. Loin de moi l’idée à trois
sous de le comparer à qui que ce soit, ou à défaut
le mettre sur une ligne à la hauteur du piédestal de
certains grands à la gratte… Discret, peu volubile au
premier abord, il s’éclate quand vient le top départ.
Avec sa six cordes il sait s’exprimer avec éloquence,
puissance ou volupté, quand nécessaire, et envoyer en
tous sens les techniques et méthodes acquises. Au Blackstone
nous avons découvert un grand et vrai talent!
Un début en wheeling avec “Sharp Dressed Man”,
tout en puissance, puis un peu de douceur sur “Unchain My Heart”,
en passant plus tard par un énergique “Bad To The Bone”
ou encore “The Jack”, sans bien sûr omettre leurs
compositions issues de l’album “No Pain, No Gain”,
voire du tout frais “Rock and Roll Preachers” dont je
ne vais pas tarder à me faire une excellente opinion et dont
j’ai déjà eu vent positif “en coulisses”,
Parole de Django !
En wheeling disais-je, en zoomant votre attention sur ce que fit chacun,
comme Christophe Salmon sur les fûts qu’il rendait aigus
ou plus graves au besoin des interprétations. Pilier du fond
de scène comme le sont souvent les batteurs, il se trouvait
cette fois “en terrain découvert”, visible, là
où son parterre de fans le hèle pour passer par ses
yeux. Avec toujours cette maîtrise qui en épate plus
d’un, de cogneurs de fûts! Quoi dire de plus qui n’engendre
plus encore un fanatisme des personnes présentes ce soir-là?
Un pléonasme?
Et “Monsieur” Pierre Houllier aussi a fait le show! Plaçant
savamment ses basses là où mélodies ou rythmes
soutenus étaient attendus des meilleures oreilles. Un “Monsieur”
qui, sans faire de discours pédants, sait faire comprendre
qu’il n’est pas qu’un tireur de ficelles graves.
Ce soir, pas d’envolées spectaculaires ou délirantes,
mais une excellente présence, une vraie prestance, un soutien
incontournable, en toute modestie. Égal à lui-même
dans la constance du personnage, un atout de la maison à quatre
piliers maîtres que constitue THE SHAKIN’ MATES house.
Invitée d’honneur dans cette belle soirée, la
charmante et talentueuse Jessie Lee Houllier. Dois-je préciser
que ce fut un point d’orgue supplémentaire?
La Dame a tenu le duo de sa voix intense avec Francis, et l’émotion
a encore pris quelques forts pourcentages de cotation, tout en partage,
y compris de microphone. Une cerise sur le gâteau musical que
fut cette soirée et que malheureusement trop peu de personnes
eurent à se partager. Car oui, la salle n’était
pas blindée, et c’est bien dommage. Dommage pour le boss
du Blackstone, qui y croit encore, et toujours, et dommage pour ces
artistes qui méritent beaucoup mieux qu’un carré
de fidèles.
5
Novembre 2013, Bowling D'oz (77)
Petit billet d'humeur
rédigé à la suite de ce concert :
NB : L'inauguration
de cette page est faite par un article négatif. C'est le présent
qui le dicte. La vocation de cette rubrique est de parler des choses
agréables. Il s'gait donc d'une exception.
Si vous comptez sur les Shakin’
Mates pour qu’ils apportent leurs amis dans vos établissements
afin de remplir vos caisses tout en mégotant sur les tickets
consommations et autre restauration à 2,50 euros : Passez votre
chemin…….Chacun son travail. Vous connaissez votre job donc
vous avez votre clientèle, nous connaissons le nôtre :
nous la divertissons. De grâce, arrêtez de prendre les groupes
pour des vaches à lait que l’on mène à la
traite sans un bonjour ou un accueil digne de ce nom. Contentez-vous
de faire votre job : Vendez de la mousse à vos clients, s’ils
existent, et ne vous occupez pas de musique, ou alors prenez des groupes
de minots que vous plumerez à loisirs en diabolos-menthe et en
Carembar. Nous avons passé l’age de faire venir nos camarades
de classe. Les prétextes culturels et musicaux pour « remplir
» des salles qui n’ont d’autre but que faire du blé
pour le blé : Raz le bol. On peut faire de l’argent, pas
de honte à ça, mais ayez d’abord l’amour de
la musique et la courtoisie de l’accueil, ça changera pas
mal de choses !
Email Reçu
de Jean-Claude Lin en Juin 2014
Salut Francis,
J'espère que tu vas bien et que tu continues à faire de
la bonne musique avec le groupe. Je me suis fait un CD en mettant le
maximum de morceaux des Shakin’ Mates et je l'ai mis dans le lecteur
CD de ma voiture et ça tourne en boucle depuis 2 mois. Tu as
vraiment de très bons musiciens. Je ne m'en lasse pas. Parfois
je me remets le même morceaux 3,4 fois avec le volume un peu élevé.
Il faut ce qu'il faut. Tu as de la chance, il y a un bon feeling, ça
tourne comme une montre suisse. Si tu s'avais comme je me régale
dans ma caisse, je prends un pieds, ça me rends heureux. Comme
j'habite un coin paumé et qu'il n'y a pas beaucoup de circulation,
je roule cool pour vraiment écouter tous les détails,
ne rien perdre. Quand tu vois comment tourne ce monde, si tu allumes
les infos on est vraiment dans un monde de barbares encore en 2014,
heureusement qu'il y a encore des artistes pour relever le niveau. Vive
les peintres, les sculpteurs, les musiciens, vive la tendresse, la délicatesse,
la générosité, le bonheur de donner du plaisir
et vice-verça. Merci Françis, merci au Inmates, Feelgood,
Beatles, Cochran et tous les autres, la liste est immensément
longue.
J'ai remarqué que sur ton site on a les mêmes goûts
musicaux. Que du bon, il n'y a rien à jeter, si tu corresponds
toujours un peu avec les Inmates, dis leur que je les aime toujours
autant et que mon album live préféré de tous les
albums live de la planète c'est toujours MEET THE BEATLES.C'est
de la bombe. C'est une merveille, à bientôt, j'ai les yeux
qui se ferment.
Jean-Claude LIN
Critique
du Concert des Shakin' Mates le 26/07/2014
au Pitchtime (91/Dourdan) par Alain Sabbatier
(Le Big Boss du club)
The
Shakin’ Mates est le groupe Pub-Rock qui nous fait toujours une
grosse impression. Pierre fait ronronner sa basse comme un gros diesel
américain, Francis chante comme un teenager arrogant qui ne lâchera
pas son chewin gum et sa guitare dont le son rock garage fait vibrer
la scène, Christophe bat les toms et la caisse claire avec la
fougue et l’intuition des jeunes rockers fous des seventies et
Jack maître du solo rageur et démoniaque qui donne une
autre dimension aux titres interprétés.
Ils ont commencé par un set de compositions, toujours plus difficile
à imposer, mais le public, amis mais avertis, connaissait et
reconnaissait les titres présentés par Francis (avec un
petit côté «Mr Loyal»). Après un "Are
you ready"? Le deuxième set, fut pavé de reprises
interprétées façon Shakin’ Mates, que du
bonheur!!!! Ce groupe devenu connu pour avoir écumé depuis
ces 5 dernières années, tous les pubs à musique
de l’Ile de France et région proche (de province aussi,
note de Francis), tourne toujours autant et ça les rend encore
meilleurs, comme le bon vin ! Leur univers sonore et l’énergie
sont domptés, du coup ! Le feeling et le spectacle sont bien
mieux valorisés. Après quelques jams avec les potes venus
les applaudir et malgré une chaleur du diable ; 3 heures plus
tard ils nous avaient donné comme à leur habitude tous
les bienfaits thérapeutiques du rock n’ roll. Merci et
encore bravo les SHAKIN’ MATES
Alain
Review
du concert au Cub le 27/09/2014 (Saint Arnoult/78) Par Tracy Deems
Coup
de cœur :
Dans un petit pub à Saint
Arnoult en Yvelines, intime par sa taille et ses couleurs chaleureuses,
hier soir les Shakin’ Mates. Un pur moment de bonheur ! Sur scène
un groupe qui transpire la passion du rock, un style qui ne peut pas
laisser indifférent, une énergie qui gagne dès
les premières notes. Ils diffusent un son énergisant,
on en prend plein les oreilles, on ressort de là la tête
et le cœur boostés. Et les yeux ! Les Shakin’ Mates,
c’est du pur rock, et un style visuel. Un guitariste habité,
l’écharpe au cou, un chapeau haut de forme, il hypnotise
et pourtant, seulement amatrice, je me dis qu’il doit être
un des meilleurs. Le chanteur, guitariste aussi, un style aussi marqué,
lunettes, chemise et cravate, la boucle de ceinture sur la hanche, une
marque de fabrique, une voix qui colle parfaitement au registre. Bref,
les Shakin’ Mates ont une page Facebook où figurent les
prochains concerts, et pour un excellent moment musical, il faut y aller,
au moins une fois. Au risque de devenir accroc… et pourtant, je
ne suis pas une fan du rock pur et dur.
Tracy Deems (Septembre 2014)
Le
Mot Du boss :
Concert
The Shakin' Mates le 26/9/14 au Cub'
Encore
un très bon moment au Cub' avec Francis, Jack Pierre et Christophe.
Merci à eux pour cette soirée Pub-Rock !!!
Photos et vidéo (Roadhouse Blues) sur notre site :
http://www.lecubevent.fr/actus-de-la-semaine/the-shakin-mates-27-09-2014/
Concert
du 8/10/2016 à La Boule noire
Toute
reproduction partielle ou intégrale est interdite aux
termes de la propriété intellectuelle. Tout contrevenant
s’expose à des poursuites.
© The Shakin'
Mates
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